Le président Tebboune : clore le dossier des zones d’ombre “d’ici fin 2022” !
Algérie – Le Président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a instruit aujourd’hui, les walis de poursuivre la prise en charge des préoccupations du citoyen pour instaurer un Etat basé sur l’égalité, soulignant que le citoyen “est l’alpha et l’oméga de la République”.
Présidant au Palais des Nations l’ouverture des travaux de la rencontre Gouvernement-walis, le Président Tebboune a souligné que les walis, représentent le “«premier pilier de l’Etat».
En ce sens, ils sont appelés à «réparer les injustices» faites aux citoyens et à prendre en charge leurs préoccupations; notamment les habitants des zones d’ombre. Il a, également, insisté sur l’impératif de clore le dossier des zones d’ombre “d’ici fin 2022 et début 2023”.
Tebboune: Un “Etat populaire avant tout”
L’Algérie est un Etat basé sur l’égalité; un «Etat populaire avant tout»; a-t-il soutenu.
Le chef de l’État rappellera, à cet égard, que «l’Algérie est un Etat démocratique et populaire». Et d’ajouter : la démocratie implique la prise en charge de «tous les citoyens».
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A ce propos, il a relevé que «82% des problèmes soulevés au niveau des zones d’ombre ont été résolus». Appelant, a cet effet, à la poursuite des efforts et à «prendre en charge les préoccupations du citoyen qui est l’alpha et l’oméga de la République».
Par ailleurs, le Président Tebboune a déclaré que «l’Algérie nouvelle; de par ses institutions constitutionnelles, son peuple vaillant et sa jeunesse ambitieuse; est en droit, à l’occasion du soixantenaire du recouvrement de la souveraineté nationale; de s’enorgueillir des capacités et de la bravoure de son armée, digne héritière de l’armée de libération».
L’Algérie est également «en droit de glorifier sa jeunesse qui prouve, jour après jour, à travers ses victoires éclatantes aux plans régional, continental et international. Que c’est bien une jeunesse de succès; d’intelligence et d’innovation»; a-t-il, encore, soutenu.
Ainsi, le président de la République a relevé l’impératif de consulter le Conseil supérieur de la jeunesse (CSJ) concernant toutes les questions inhérentes à cette catégorie sociale. D’ailleurs, a invité les walis et les membres du gouvernement à prendre attache avec les représentants des jeunes.
