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Présidentielles : les grandes lignes des programmes des candidats

Présidentielles : les grandes lignes des programmes des candidats

Les candidats à l’élection présidentielle du 7 septembre et leurs représentants, ont poursuivi, mercredi au 7e jour la campagne électorale, leurs sorties sur le terrain pour expliquer les grandes lignes de leurs programmes respectifs et proposer des solutions adaptées aux attentes et préoccupations des citoyens.

Ainsi, les chefs des partis politiques qui soutiennent le candidat indépendant,  Abdelmadjid Tebboune, ont réitéré leur appel à voter en sa faveur afin qu’il puisse parachever les projets entamés durant son premier mandat, marqué par plusieurs acquis dans divers domaines et secteurs.

C’est le cas notamment du président du parti El-Fadjr El-Djadid, Tahar Benbaïbeche, qui a animé un meeting à Jijel, en plaidant pour la consolidation des choix et des orientations économiques de Abdelmadjid Tebboune durant son premier mandat, ce qui permet à l’Algérie de s’éloigner des risques de l’endettement en vue de préserver la souveraineté nationale.

Il a ajouté que la conjoncture internationale impose aux Algériens de sortir voter en masse pour déjouer les complots fomentés contre l’Algérie, à l’intérieur comme à l’extérieur.

De son côté, le secrétaire général du parti du Front de libération nationale (FLN), Abdelkrim Benmbarek, a soutenu depuis Tébessa que le candidat indépendant, Abdelmadjid Tebboune se présente avec un programme de développement “ambitieux” qui englobe “l’ensemble des secteurs et touche toutes les catégories sociales”, ce qui requiert un “appui populaire”.

Pour leur part, les premiers responsables d’autres partis, à l’instar de Mustapha Yahi (RND) et Abdelkader Bengrina (Mouvement El-Bina), ont réitéré respectivement à Bouira et Timimoune, leur soutien à la candidature de  Abdelmadjid Tebboune, compte tenu des “acquis socio-économiques concrétisés durant son premier mandat”.

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Pour sa part, le candidat du Mouvement de la société pour la paix (MSP), Abdelaali Hassani Cherif, a estimé que le rendez-vous du 7 septembre constitue une “échéance nationale cruciale”, soulignant la nécessité de “renforcer la cohésion nationale à travers une adhésion populaire autour du prochain président”.

Il a, en outre, estimé qu’une participation massive à cette élection traduirait “une affirmation de la démocratie et du pluralisme que connait le pays”.

A noter que le candidat du parti du Front des forces socialistes (FFS), Youcef Aouchiche, n’a pas effectué, ce mercredi, d’activités sur le terrain.

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